Leonard de Vinci

 


 

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Léonard de Vinci 1452 1519
Parrain de la technologie

 

Léonard de Vinci est le génie le plus original et le plus complet des temps modernes. Artiste et savant accompli, il est l'illustration parfaite de l'esprit universel tel que le voyaient les philosophes humanistes de la Renaissance italienne. C’est aussi le parrain de la technologie.
I.Introduction.
Aux débuts du XVI e siècle, l'Italie produit une constellation d'artistes parmi laquelle s'affirment principalement Léonard de Vinci (1452 - 1519), Michel-Ange - de vingt-deux ans plus jeune que lui, rival menaçant et ombrageux - et Raphaël - né trente et un ans après Léonard, qu'il admira et étudia jusqu'à l'imiter.
Léonard est un esprit universel, à la fois architecte, mécanicien, botaniste, chimiste, astronome, mathématicien et anatomiste. Tous les domaines du savoir technologique lui doivent des avancées importantes. Ses carnets de notes, gardés précieusement par les plus grands musées et bibliothèques, constituent une véritable encyclopédie : on y trouve aussi bien des études sur les fœtus et sur les machines à voler que des dessins de plantes, d'animaux et de vagues, des portraits, ou encore des plans détaillés pour le drainage d'un fleuve ou pour le déplacement de poids immenses grâce à un système complexe de poulies. L'écriture qui accompagne les dessins est très particulière. On ne peut la déchiffrer qu'à l'aide d'un miroir, car elle va de droite à gauche, comme si son auteur cherchait à se protéger des yeux indiscrets ou à souligner son originalité.
Cette personnalité fascinante nous apparaît trop souvent sous les seuls traits d'un vieillard barbu, un peu sévère, au regard pénétrant mais désabusé. Léonard est pourtant d'un tempérament enjoué et sportif, aimant les plaisirs de la cour et les farces. Il est bon parleur, excellent cavalier, musicien. Le jeune homme, rompu à la danse comme à l'escrime, n'hésite pas à inventer des machines qui soulèvent les lits au beau milieu de la nuit, donnant des frayeurs aux dormeurs, ou à combiner des odeurs désagréables pour faire fuir l'assistance... Chercheur et travailleur infatigable, il est aussi inconstant, lent à répondre à d'autres exigences que les siennes et d'un perfectionnisme sans limites, ce qui explique en partie le fait que ses œuvres, débordant de variantes et d'études préparatoires, sont rarement achevées.

 

II. L'aventure d'un génie de la technologie

Léonard est né à Vinci, près de Florence, en 1452. Son père, notaire de la République, lui a donné l'éducation d'un gentilhomme de l'époque. Remarquant la curiosité de son fils pour les sciences et ses dispositions artistiques, il le place comme apprenti auprès d'Andrea del Verrocchio, grand peintre, sculpteur et architecte florentin. Aidant Verrocchio à peindre à San-Salvi un Baptême de Jésus-Christ , le jeune Léonard réalise une partie du paysage et une tête d'ange d'une délicatesse inouïe. L'histoire dit que le maître, se voyant surpassé par Léonard et impressionné par la douceur originale de sa manière, renonça à jamais à la peinture. Léonard est inscrit, à l'âge de 20 ans, dans la compagnie des peintres de Saint-Luc à Florence, où il continue de travailler jusqu'en 1483. Très peu d'œuvres de cette période ont survécu; on peut citer l'ébauche d'une Adoration des Mages et une tête de Méduse dont la chevelure est composée de couleuvres.
Léonard s'attire la faveur de Laurent de Médicis et reçoit diverses commandes de peintures; la plupart demeurent inachevées. Puis il s'installe à Milan, à la cour du duc Ludovic Sforza. Léonard lui a proposé ses services dans une lettre où il fait état de ses compétences d'ingénieur et d'expert en armement. Ce n'est qu'à la fin de la lettre qu'il mentionne pouvoir remplir, "en temps de paix", l'office d'architecte; pour ce qui est de la peinture, dit-il, "je puis faire ce que l'on désirera tout aussi bien que qui que ce soit". Le duc de Milan ne tarde pas à charger Léonard de tâches diverses. L'artiste devient ainsi l'organisateur des fêtes données lors des noces illustres et l'inventeur de machines de théâtre qui émerveillent le public; il peint plusieurs portraits des beautés de la cour milanaise, dont peut-être celui que nous appelons la Belle Ferronnière ; il entreprend des études pour rendre navigable le canal de la Martezana. De cette époque date également l'un de ses chefs-d'œuvre la Vierge aux rochers . Ce tableau, représentant la Vierge, l'Enfant Jésus, saint Jean et un ange, permet déjà d'apprécier sa vision artistique et la finesse de sa technique : le groupement des personnages, le jeu d'ombres et de lumières, la précision des touches fondues qui font disparaître les formes dans la brume du "sfumato" substituent à la perspective traditionnelle une perspective atmosphérique. Les témoignages situent autour de 1490 la création d'une académie portant son nom. Il y enseigne son savoir tout en notant ses recherches dans de petits traités. Au cours de cette même période, il fait des études pour une statue équestre que Ludovic Sforza voulait ériger à la mémoire de son père. L'immense cheval est décliné en plusieurs variantes dont Léonard n'est jamais satisfait. Cette sculpture n'a jamais été coulée en bronze et le modèle en terre fut détruit lors de la prise de Milan par les Français, en 1499.

 

III.Un ami de la France.

Dès 1500, Léonard de Vinci regagne Florence, qu'il ne quitte plus avant 1516 que pour quelques courts voyages. En 1501, il exécute une esquisse préparatoire représentant la Vierge, sainte Anne, l'Enfant Jésus et saint Jean.
Au tout début du XVI e siècle, l'artiste peint aussi le portrait de la femme d'un marchand, Francesco del Giocondo. Le portrait de Mona Lisa del Giocondo ( La Joconde ) s'est transformé en mythe : à travers les touches fines, empreintes de reflets violacés, on aperçoit non seulement un être "vivant", qui semble respirer, mais aussi son énigme projetée sur un paysage de rêve.
En janvier 1516, quand le nouveau roi de France François I er , grand protecteur des arts, repasse les Alpes, il est accompagné de "Monsieur Léonard". Il lui verse une pension, lui donne la résidence du Clos-Lucé près d'Amboise et le charge de faire les études nécessaires pour un canal qui devait passer par Romorantin. Léonard aurait également contribué à élaborer le plan du château de Chambord. Rien n'est certain, car âgé et affaibli par la maladie, le maître n'a eu qu'une activité réduite. Léonard de Vinci se serait éteint dans les bras du roi, le 2 mai 1519.

 

Dates clés
1452
Naissance de Léonard de Vinci.
1472
Peint, dans l'atelier de Verrocchio, l'ange du Baptême du Christ.
1472
Répertorié comme peintre de la compagnie de Saint-Luc.
1481
Chargé de peindre une Adoration des Mages (inachevée).
1483
Commence à peindre la Vierge aux rochers.
1493
Le modèle en terre du cheval pour le monument Sforza est exposé à Milan.
1498
La Cène du couvent Santa Maria delle Grazie.
1500 - 1501
Esquisse préparatoire de la Vierge et sainte Anne.
Vers 1500 - 1503
La Joconde..
1506 - 1508
Peint une seconde version de la Vierge aux rochers.
Vers 1510
Seconde version de la Vierge et sainte Anne.
1516
Part pour la France.
1519
Meurt à Amboise.

 

Source : http://www.operavenir.com/cours/docs/Leonard.doc

 

Autore del testo: non indicato nel documento di origine

 


 

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